Un blog un peu mode, un blog de rien, un blog de fille comme les autres quoi !, écrit par une intellectuelle en manque de superficiel !
Et résolument montréalais, le site...:-)

jeudi 30 avril 2009

Look de voyage premier


Le voilà... C'est une robe d'une designer québécoise, La Vilaine. Et, en passant, jour 6 vaincu !

mardi 28 avril 2009

Chronique de Washington

J'arrive pas... je serai pas capable de faire un seul post avec nos niaiseries de voyage ! Missing time ! Je ferai donc des chroniques de Washington, plus ou moins longues, et thématiques.

Première thématique, à l'image d'Entendu à Montréal... Si moi, je suis forte pour sortir des phrases louches-si-prises-hors-contexte, la fin de semaine en a été truffée (et je n'en étais pas la seule responsable) ! J'en ai oublié plusieurs, mais voici les meilleures.

Avant tout, la phrase du week end, parce que je suis... moi. Donc bourgeoise, assumée (depuis peu quand même...) et amusée... "J'aime les festins et les gens nus." On a beaucoup parlé de gens nus, d'ailleurs.

Miss Au et Monsieur X : "On est sur le dos sur le lit, jambes en l'air, pis on fait la position..." surprised

Je me souviens pu qui (moi, sûrement) : "Pourquoi... faut être cochonne ?" confused

Monsieur X: "Moi, je suis raide comme un roseau." (Ah oui ?wink)

Demoiselle-Ruk : "Y en a qui méritent d'être vus tout nus." (Mais des fois, on se rend pas...biggrin)

Monsieur X qui nous explique très sérieusement qu'il y a des gars qui sont plus "type fesses" et d'autre "type seins" et que lui est de la seconde cohorte... alors que la serveuse qu'il reluque n'a ni fesses ni seins, mais est très jolie. Finalement, à bout d'arguments, Monsieur X nous a expliqué, à nous, filles incultes...
"Les seins, c'est un bônus !"

Statement

Back from Washington... Un post à cet effet s'en vient, d'ailleurs. Et j'aurai plein de looks de voyage.

Pour l'instant, je vous fait un statement. Je suis une fille dépendante. De pleins de choses. La cigarette, les gens, le travail, le shopping, etc...

Le voyage à Washington m'a donné l'occasion d'essayer de me débarrasser d'un de mes vices, je vous dit pas lequel. Certainement pas du shopping, en tout cas...wink

Jour 5. Et ça va bien.

Mais le plus dur reste à venir, et je le sais bien. Sauf qu'en le disant à tout le monde, je me sens plus obligée de respecter ma volonté (quand elle faiblit un peu...).

LET'S GO LA MISS, LET'S GO ! cool

vendredi 24 avril 2009

I'm gone, baby, gone !


Washington, here I come ! OK, je pars avec un mini-ordinateur.

Mais aussi avec deux amies que j'aime ! Et là-bas nous attend quelqu'un que j'ai vraiment hâte de voir... Monsieur X, peut-être ?

Peut-être me trompe-je, aussi. À vérifier.

En tout cas... À l'heure où ce post est publié, je devrais être en route (Internet, c'est magique wink!).

WASHINGTOOOOON ! HERE WE COME !!!

jeudi 23 avril 2009

Souvenirs d'enfance


Plus tôt cette semaine, j'ai croisé ce dessin. C'est drôle parce qu'au même moment, je pensais à ma "gang de petite fille".

La semaine dernière, nous avons tenues notre souper annuel traditionnel, devenu traditionnel grâce à facebook parce que sinon on ne se serait probablement jamais revues. C'est quand même drôle de constater qu'en fait, on a pas tellement changé. On est toutes un peu là où on se voyait (et où les autres nous voyaient) quand on s'imaginait plus tard. Ou presque. Dans nos études, notre travail, notre style de vie...

Même dans le look, on se ressemble un peu. Et pour s'imaginer, on était pas mal bonnes ! L'une d'entre nous avait reçu un genre de stencil avec des silhouettes. On se dessinait les cinq, avec des outfits thématiques. Nous, en rollerblade. Nous, à la plage. Nous, à l'école (des grands). Nous... enfin, vous voyez le principe. Ça a probablement joué un rôle dans mes obsessions actuelles.

On a aussi enregistré de nombreuses émissions de radio. Et inventé un club (c'était ben à la mode, les clubs... Souvenez-vous, le Club des 100 watts, le Club des baby-sitters...). Une entreprise locale aussi (bravo Tirelire, Combines et Cie!)... Ça, c'était peut-être aussi avec Soeur-Mais-Pas-Tout-à-Fait.

Nous nous dessinions aussi des maisons sur l'asphalte. On imaginait même la déco. Comme dans le dessin. Ça m'a fait penser à ça. Ces filles-là seront toujours un bon souvenir d'enfance. En espérant que ça reste un souvenir vivant !

mercredi 22 avril 2009

Parce qu'il faut bien travailler...

Le mercredi est une journée à part dans ma semaine. J'entre dans un monde complètement différent de celui que je vous dévoile sur ce blog et de la vie normale d'étudiante que je mène à l'université, soit la majorité du temps. 

Le mercredi, je fais partie du monde des GRANDS. Grands, comme dans adultes là. Je suis entrée dans ce monde alors que j'avais 19 ans. Euuuuh... à ce moment là, je m'en tenais aux valeurs sûres jeans+t-shirt alors entrer dans le monde vestimentaire des adultes était beaucoup demander.

Ça a résulté en quelques achats douteux et quelques années de gaffes vestimentaires fréquentes. Puis un veston Sinéquanone est venu sauver la mise. Et d'autres éléments. J'ai des tailleurs que je n'ai jamais porté en kit. Je ne peux pas m'y résoudre.

Bref, j'ai amélioré la chose. Je vous fait part d'un look du jour du mercredi. Les pantalons sont d'Ève Gravel.

mardi 21 avril 2009

Un peu de tout et n'importe quoi...

Si vous saviez toutes les niaiseries qui me passent par la tête pendant le fameux cours de yoga... La prof se dynamise au rythme où la salle de séminaire rapetisse. Donc, en plus de faire des "han ! han !", de suer et de suinter dans un local tout-à-fait inapproprié, on doit essayer de suivre une espèce de freak qui profite de n'importe quel moment pour nous faire forcer un peu plus.

Ça fait la job...neutral

Là où je suit moins, c'est quand elle se met à nous sortir des trucs un peu ésotériques. Elle a passé tout le cours à nous rappeler "de prier". Bon, la position de "prière" ouvre la cage thoracique et les épaules... Et jusque là, ça va...

C'est quand elle nous fait faire des trucs comme "s'ouvrir à soi et aux autres", connecter notre tête et notre tronc, bien sentir chacune partie de notre corps... que là, je suit pas !confused

Mais alors là, pas du tout ! J'ai même failli éclater de rire quand elle nous a dit "remerciez-vous, vous-mêmes de prendre soin de vous". Tout compte fait, j'ai peut-être émis un petit rire étouffé. En tout cas... Ou quand elle nous dit de choisir un endroit de notre corps qui est plus tendu et d'y amener "comme une douce chaleur et une lumière argentée".

C'tu moi qui est retard ?eek Parce que, non seulement j'ai envie de rire, mais en plus, je les sens pas du tout, moi, les parties de mon corps ! Je me sens hyper inadéquate... d'autant que, quand je regarde autour de moi (parce que non, moi, relaxer dans un local de séminaire, j'ai un peu de mal...), tout le monde a l'air super relax, la prof la première. Pas moi.


Ah ! J'ai aussi un look du jour pour vous. J'ai coupé ma tête qui était vraiment trop louche...

Il date un peu (la charmante Betty -dont je n'avais pas trouvé le blogue avant de faire mon en-tête- appelle ça un jetlag blogging), mais bon... Je file romantique (autant que faire se peut !). De là le look ! Détrompez-vous, ce n'est pas les dates qui me font cet effet. C'est plutôt le printemps ! Et la bonne humeur ! Parce que la fin de semaine prochaine... WASHINGTON TIME !

OK, je sais Washington est pas aussi glamour que NY ou Paris... mais pour une étudiante en science politique, c'est comme la Mecque pour les musulmans, Saint-Jacques-de-Compostelle ou Jérusalem ! Je n'exagère pas du tout, de quoi vous parlez ?cool

dimanche 19 avril 2009

Histoire de balcon !

J'adore mon balcon... N'importe qui qui me connaît, qui est déjà venu chez moi l'été, ou qui est le moindrement mon ami facebook sait que je voue un culte (de fait) à mon balcon.

Sur lequel je fais pousser des tonnes de trucs... Je ne partirai pas, mais je peux vous dire qu'avec le beau temps et la vue des bourgeons qui poussent, moi, je n'ai qu'un envie: aménager un beau balcon ensoleillé !

Les photos en témoignent. Et aussi témoignent d'une journée "vedge" par excellence !

OK. je vais chialer deux secondes... LES CANADIENS SONT POCHES !!!!! Mais au moins, il peuvent permettre à une date (moi pis mes résolutions de marde*) de comprendre qu'on veut pas vraiment être avec lui à ce moment-là...wink En fait, c'est Loft Story qui m'a permis ça. Je n'ai jamais regardé cette insignifiante émission (mais ô combien divertissante! Je suis fan en fait...) aussi intensément ! Je suis passée maître dans l'Art d'être plate avec un gars. Sérieux.

J'aime quand ils comprennent rapidement les signes que... genre, je me suis trompée, tu m'intéresses pas pantoute !biggrin

* J'ai pris certaines résolutions pour mon quart de siècle. Ne plus avoir peur, ne plus fuir systématiquement, donner une chance aux gens, notamment ceux que je frenche dans un bar, etc... J'en reparlerai...

samedi 18 avril 2009

Quand Pierre Lapointe entre dans ma tête...

Ça donne ces paroles-là... Miss Au, si vous n'aimez pas sa musique, peut-être comprendrez-vous pourquoi ses mots me touchent tant ?

Tu craches de ta bouche tous tes éclats de rire
Pour oublier le bonheur et la joie que tu n'as pas
Tu gardes sur ton coeur l'étrange souvenir
De la légèreté de l'enfance qui commence à flétrir

Mais où vas-tu, courant derrière tes pas
Écorchant ton visage, en empilant les voyages ?
Mais que fais-tu, te barbouillant de tes dires
Quand tu te sens rougir, trahi par tes soupirs ?

Quand tu ne sais pas comment nous dire
Que toi aussi, tu pleures
Que tu saignes du coeur
Quand de ta bouche coulent des rires

Tu nous cries sans cesse que tu gardes la foi
Face aux tristesses, aux malheurs qui s'acharnent sur toi
Tu camoufles tes peurs, sous d'imposantes voix
Qui chantent pour toi l'alléluia d'un bonheur que tu n'as pas

Mais promets-toi qu'un jour tu resteras
Face aux fausses paroles, autre chose qu'un guignol
Mais promets-toi que tu ne resteras pas
Dans toutes tes courses folles, celui qui toujours rigole

Sans s'avouer qu'il ne sait dire
Que lui aussi pleure
Qu'il saigne du coeur
Quand de sa bouche coulent les rires

Coulent les rires, par Pierre Lapointe

Awkward... ou "veux-tu m'épouser ?"

Est-ce que ça vous est déjà arrivé de rencontrer quelqu'un qui est, à proprement parler, exactement la même personne que vous, mais de l'autre sexe ?

Ça m'est arrivé hier... et c'est vraiment bizarre !

Hier, mon appart était rempli de gens que je connaissais plus ou moins. C'est louche, hein ? En fait, je prêtais mon appart pour que le party de fin de session des étudiants de notre petit département puisse avoir lieu. Des visages déjà-vus, mais pas nécessairement connus, donc. Surtout des gars, étrangement. En fait, pas si étrangement que ça, si au bacc il y a maintenant plus de filles, dès qu'on arrive aux cycles supérieurs (l'élite, quoi! cool), le paysage change et la proportion s'inverse.

En tout cas, le mec fait partie de ces gens inconnus qui sont chez moi. En bonne hôtesse que je suis (j'ai lu "La cuisine raisonnée"...), je butine (ok, mauvais terme... me promène, disons !) d'un groupuscule à l'autre. Entre les deux inconnus amers de ne connaître personne et de l'isolation inhérente au fait de faire une maîtrise, le mec que j'ai vu trois fois dans ma vie (les trois fois chez moi, pour des partys... La première fois, il était habillé en juif hassidique. Ça frappe, mettons) et les amis, trois individus à l'air normal. Bon point, l'air normal, quand on est aux cycles supérieurs. Anyway !

Le gars est sympathique, il est mignon, il est seul... bref, intéressant wink ! Même si il fait de la philo-pol, il trouve mon sujet de mémoire intéressant et trouve le moyen de faire des parallèles entre mon projet et des concepts de pensée politique. Tout ce que je me souviens de mes cours de pensée politique, c'est que le prof portait des converse...

Bon... ça, c'était jusqu'à ce que je l'entende parler de la Braderie de la mode québécoise (qui a encore lieu aujourd'hui et demain au Marché Bonsecours !). Je parlais avec Miss Au, et je me sens vraiment interpellée (évidemment). Je fais les gros yeux à Miss Au, de toute ma subtilité incroyable en me tournant quatre ou cinq fois vers lui, d'un air incrédule. Miss Au rit dans sa barbe, puis me dit quelque chose comme : "C'est toi en gars". Vraiment.eek

Il a du se sentir interpellé aussi, parce qu'il est venu voir de quoi il s'agissait... Je lui explique que je suis allée à la Braderie le jour même, machin, machin. "Ça vaux-tu la peine ? Pour les gars je veux dire..." Non, ça vaut pas la peine, mais je lui vend la journée du 3 mai, qui sera probablement plus fructueuse pour les gars. Miss Au rit toujours de plus en plus pendant l'interlude... Je suis aussi un peu crampée.

Pis là, je me souviens pu trop pourquoi, mais ça dégénère sur les Sex in the City et autres Lipstick Jungle de ce monde. Qu'il dit écouter avec attention... C'en est définitivement trop pour moi. Je suis sans voix... Jusqu'à ce qu'un "tu voudrais pas m'épouser ?" sorte de ma bouche avant que je me mette à rire sans vraiment pouvoir m'arrêterbiggrin. Ma première demande en mariage, mes amis ! Faite par moi-même. J'en ris encore aujourd'hui (z'inquiétez pas, je vais en revenir !).

Vous me direz que mes comparaison sont boîteuses... mais en fait, il y a plein d'autres détails louches, étranges, bizarres, tout ce que vous voudrez, qui ont fait que j'avais l'impression de me retrouver face à moi.

Il a pas de nom, je m'en souviens plus...

Et dans les faits, ça doit être insupportable vivre avec moi...wink

jeudi 16 avril 2009

Dure réalité...

Je reviens du garage... Même pas pour mes pneus (d'ailleurs...), mais bien pour réparer les dommages de l'autobus scolaire.

Sur mon dossier, une note: "Voir le garagiste".

C'est jamais bon signe...

Le sympathique bonhomme s'est donc mis à me faire la liste de ce qui doit être changé sur mon char. Dans ma tête, à part me dire que je comprend rien à ce qu'il raconte, tourne un ritournelle qui va comme suit : "crisse d'autobus scolaire, t'aurais pas pu me causer une perte totale tant qu'à y être !"

Et c'est sincère !


mercredi 15 avril 2009

Lendemain de premier cours de yoga

Ouin... Ben, j'avais des muscles ça a l'air ! Parce qu'aujourd'hui, je suis un peu raquée. En plus des ecchymoses toujours de plus en plus foncées sur mon coude et ma fesse. Et des courbatures causées par ma chute...

Je suis un peu inattentive... Je fonce fréquemment dans les murs, les gens ou les poteaux, aléatoirement. Les cadres de portes sont un obstacle notable dans ma vie. Bon... en tout cas !

Le cours de yoga, c'était drôle. Une dizaine de personnes dans un mini-local de séminaire de mon département universitaire et la prof, qui est VRAIMENT dynamique et qui prend (quand même) pas mal de place (pas dans le sens qu'elle est grosse, dans le sens qu'elle est... dynamique), se réunit. On a tous l'air un peu cons dans nos vieux joggings, nus pieds (nu pied à l'université... beurk !). 

C'est le premier cours, donc il y a un peu de blabla avant qu'on ne commence. Mais on commence... La salutation au soleil, le machin du chien... On est principalement des filles, donc on est là, comme des dindes, pendant que la prof rit toutes les deux minutes, à suer (lire souffrir) et à échapper des sons étrange (de souffrance, toujours) une fois de temps en temps. Comme on dit, faut c'qui faut!

Je pense que la prof est un peu sadique, elle rit sans arrêt, de nous peut-être ?... Et de l'incroyable salle trop petite dans lequel on fait notre truc. Dans laquelle on a habituellement nos cours... dans laquelle on entend les profs niaiser de l'autre côté de la porte... dans laquelle les gens qui ont un bureau de l'autre côté du semi-toit peuvent nous regarder faire le chien ! 


mardi 14 avril 2009

Quand on croise des gens qu'on voudrait pas vraiment rencontrer dans le métro

AAAAAaaaaaah ! Rien de pire que de croiser un ex-one night stand (ou ce qui aurait pu le devenir) dans le métro. C'est ce qui m'est arrivé ce matin... Dans mon cas, je m'étais débarrassée de lui en... fuyant ! Évidemment !

En fait, il m'avait cruisé dans un bar. J'étais plutôt avancée en fin de soirée et j'ai trouvé beaucoup plus facile lui dire quelque chose du genre "plus tard, tu peux me retrouver sur facebook facilement..."redface

Problème de communication, et à mon grand désespoir, mes amies étaient parties... Il avait payé le taxi (il habite pas très loin de chez moi, quand même !) et j'étais sagement (et avec soulagement) rentrée seule chez moi.

Mais voilà qu'il m'a retrouvé et que j'ai dû (encore) le fuir, virtuellement cette fois.


Jusqu'à ce matin... ce matin, où je l'ai croisé dans le métro. Croisé, que dis-je, j'ai fait le chemin jusqu'à l'université avec cette personne pas super intéressante. J'étais donc cruellement gênée, d'autant plus que j'avais magnifiquement réussi à l'ignorer lors d'une soirée où je me suis retrouvée dans le même bar que lui (bis - une fois subséquente, vous l'aurez compris). confused

Et cet après-midi, j'ai à peine le temps de me logguer sur facebook (c'était quoi l'idée d'ajouter un chat), qu'il me parle pour me dire pas grand chose... j'ai fini par m'en sortir, mais je suis à peu près convaincue qu'il va réessayer.

En plus, Monsieur-l'EX s'est invité à souper. J'aime avoir de la compagnie, je m'entend bien aussi avec lui, pas de problème... C'est juste que chaque fois, il reste un peu trop longtemps...

lundi 13 avril 2009

Look d'un jour...


Parce que ce n'est ni aujourd'hui ni hier...

Mal de coude...

Et un peu au genou aussi. J'ai quelque chose avec les escaliers... et le bois franc.rolleyes

Il y a quelques années, je me suis cassée le pied en allant répondre au téléphone (...). Je faisais une sieste, je me suis précipitée sur mon cellulaire qui sonnait, j'ai glissé sur le plancher de bois franc, j'ai mal déposé mon pied à terre... et pis ça a fait "crounche". Je suis forte sur la négation psychologique alors j'ai mis deux jours avant de me résoudre à aller à l'hôpital avec mon pied non fonctionnel. Deux jours à sauter sur un seul pied.

Au Jour de l'An, cette année, très précisément le 30 décembre... En voyage familial à New York, trop heureuse de pouvoir me sortir de ce contexte, j'allais rejoindre un ami et ses propres amis dans un petit bar de Greenwich. Satisfaite de pouvoir m'aérer l'esprit (*tousse, tousse* lire "faire la fête"), je vais gaiement prendre le métro, ipod dans les oreilles. C'est à ce moment que l'avant-dernière marche de l'escalier me menant à la rame de métro a décidé de se dérober sous mon pied qui allait se poser dessus gracieusement. Ledit pied est donc allé s'échoir deux marches plus loin, beaucoup moins gracieusement que prévu, sans avoir la bonne idée de se maintenir droit. Toujours aussi obstinée à nier la douleur, j'ai pris le métro, me suis rendue auprès des amis, ai dansé toute la soirée. Heureusement que j'avais eu la brillante idée de troquer mes talons de 3 pouces contre une paire de bottes à semelle plate.

C'est le lendemain, quand j'ai vu mon pied que j'ai pris la mesure du mal. Il était gros. Beaucoup trop. Et on était à New York... le 31 décembre. Pas question de rester à l'hôtel. On a bien cherché des béquilles (pas fort, fort quand même), sans succès. Fait que j'ai marché sur une belle entorse au troisième degré (diagnostiquée une fois de retour dans notre gentil système de santé gratuit) pendant deux jours (encore).

Hier, chez mon père... Maison construite sur une pente, donc toute en escaliers. Planchers de bois franc. Moi, en bas de nylon. Trio infernal ! J'ai déboulé les escaliers pas élégamment du tout. Je me retrouve avec un coude sur lequel il m'est impossible de m'accoter, un sale bleu énorme sur la fesse et un autre sur l'avant-bras. Bref, je souffre.

Et je commence mes cours de yoga demain. *Soupir*.confused

samedi 11 avril 2009

Souvenirs d'hier... ou pas.

Comme dans la toune de Lady Gaga...

J'ai un peu mal aux cheveux
De la misère à garder droits mes yeux
Il y a has been d'étampé sur ma main
Pis mon cell qui est pu là ce matin
Ça doit être à cause du vin ?

LOL. Naaaan, c'est pas si pire que ça. Mais disons que nos deux bouteilles de vin - pour deux filles - ont eu l'effet escompté. Et la troisième, une fois au bar, a probablement mieux abreuvé le plancher que nous.

Ce qui a aussi donné lieu à un photoshoot de fin de soirée. Ouf... Ça donne ça.

mercredi 8 avril 2009

Vive les impôts !

Les impôts m'ont rendus 2000 $ !!! J'ai pu rembourser (une partie) de ma carte de crédit ! Yé !

Je suis tellement contente que je songe à m'offrir une paire de bottes pour fêter ça ! Bon, je sais... 

Mais elles sont SI belles et en vente. Je déteste le mot "vente". Ça sonne, je vais é-venter mon argent... Ok, je sais, mon humour est douteux !

lundi 6 avril 2009

Ma super vie jet-set (bis)


Madame-ma-Mère et moi avons fait une sortie de filles ce soir. Au hockey ! J'aime beaucoup le hockey, mais je n'ai pas le câble, je ne l'écoute pas super souvent. Aller au hockey, j'adore !

Depuis quelques années, Madame-ma-Mère et son Symptahique-Mari ont des billets pour le hockey, mais y vont systématiquement. Une fois ou deux, souvent le jour même, ils m'ont offerts les billets. Mais chaque fois, j'avais un engagement et j'ai du refuser les billets.


Donc quand Madame-ma-Mère m'a appelé la semaine dernière pour savoir si mon lundi était occupé et qu'elle m'a proposé une soirée de hockey entre filles, je n'ai pu refuser. J'aurais eu beau avoir quelque chose de prévu ce soir, je l'aurais annulé.

Et je ne l'ai pas regretté. ON ÉTAIT ASSISES DANS LA QUATRIÈME RANGÉE !

Quand tu regardes le jeu et que tu peux reconnaître les joueurs par leur visage...

Madame-ma-Mère a un peu traumatisée quand j'ai crié "ARRACHE-LUI LA TÊÊÊÊÊTE !!!" à Maxime Lapierre qui se battait.


Et, près de nous, il y avait Georges Gillett... Très drôle ! Si le mec à côté c'est son fils ou son neveu, moi je veux bien ! Et même Normand Bratwaith (comment ça s'écrit, ça?)  avec Sophie Prégent étaient là pour nous. 

Et, au début, Henri Richard est venu donner un bâton d'argent à Brisebois qui fêtait son 1000e match avec le CH. 

C'était un bon match, même si on a perdu et que le Canadiens "était un peu désorganisé", dixit Madame-ma-Mère.



Bon, quelques photos pour finir. J'ai pas grand chose à dire. Ma vertu digère ma mauvaise façon de m'être débarrassée de Monsieur S. Vertu nulle, soit dit en passant, mais puisque Aristote a dit qu'il fallait la chercher... Sans blague, je sais que j'ai été poche. Je vous en reparlerai quand je me sentirai moins moche. 


dimanche 5 avril 2009

Look du jour

Ce soir, on a fêté Pâques. C'est que, voyez-vous, Madame-ma-Mère et son Sympathique-Mari s'en vont en quelque part plus au sud, pour une semaine de vacances à thématique golf. Donc, peu croyants que nous sommes, mais puisque nous aimons bien les fêtes et les bons repas, nous avons devancé le moment fatidique du bris de Carême. Quoique on fait pas carême. On s'est même demandés comment se décidait la date de Pâques et c'était quoi tous ces trucs de Dimanche des Rameaux, de Mercredi des Cendres, etc, etc, etc. Sans ordinateur sous la main, pas si simple de trouver les réponses. Je me sens pas vraiment plus impliquée dans la fête de Pâques.

Mais je continue de l'aimer parce qu'il y a du chocolatsmile. Et de toute façon, on s'est entendu pour dire que pour nous, Pâques, c'était la fête du printemps.


Donc, j'étais habillée en conséquence... et en dimanche. Toute fleurie. J'ai hâte que l'été arrive...

J'ai été nulle avec Monsieur S. Je lui ai écrit un courriel. Ça méritait un téléphone, mais j'ai appelé en signe de bonne foi et il n'était pas là. J'ai laissé un message (pour preuve de ma (presque) bonne foi bis). Et je lui ai écrit. Je n'éprouve pas tellement de remords. Mais j'espère fortement qu'il ne me rappellera pas.

Re-Monsieur S et calembours de carambar


Monsieur S. a appelé hier soir. Tout comme avant-hier et avant-avant-hier. Et chaque fois, je n'ai pas répondu. Non, pas par exprès ! À ma défense, même si je ne tenais pas particulièrement à lui répondre, je n'ai pas entendu. Et jeudi, il a appelé tard et je dormais presque et mon cellulaire était sur vibration, loin. Et vendredi, j'ai oublié de l'appeler (ce qui est vrai) et j'étais au party de départ d'un couple d'amis qui nous quittent pour deux ans en Australie. C'est vrai, je n'ai pas rappelé. Bon. Mais il n'a pas laissé de message. Et, de toute façon, est-ce que j'ai le droit de pas répondre ? C'est pas parce que j'ai un cellulaire plutôt qu'un téléphone de maison que je suis TOUJOURS obligée de répondre.mad

Oups... je m'explique: ma petite frustration vient du message laissé hier soir où, délibérément je l'avoue, je n'ai pas répondu. Message qui me reprochait, "pour une fille qui a le rhume" de ne pas être trop disponible au téléphone... Moins un (autre) morceau de robot pour Monsieur S. Par contre, je vais devoir lui dire que je ne suis pas vraiment intéressée. "C'est pas toi, c'est moi" s'applique réellement dans ce cas-ci. Mais je ne lui ferai pas ce coup-là, ne vous inquiétez pas. Je suis humaine après tout wink. LOL.

Et maintenant que j'ai atteint mon quart de siècle (à mon grand désespoir aujourd'hui) j'ai décidée d'essayer d'agir en grande personne*tousse, tousse*. Ouin. Et ça implique de mettre les choses au clair dans ce genre d'histoire. Depuis trois jours, je fuis. Mais je devrai affronter. confused

Je déteste ça. Je déteste faire mal ou avoir l'impression de faire mal. C'est un peu con, en fuyant j'empire souvent les choses. De là mes bonnes résolutions de quart de siècle. Sauf que vous savez pas à quel point ça peut être dur pour moi ces choses-là. C'est comme une déformation que j'ai... il est justement là, le problème. Ce mec, Monsieur S, pourrait probablement réussir son coup en continuant comme ça jusqu'à temps que je me sente tellement mal et coupable, que je finisse par le voir quelques fois tout en sachant très bien qu'il ne m'intéresse pas. C'est totalement absurde mon affaire, je le sais ! Je vous l'ai dit, Mme-la-Psy est en congé de maternité.

Donc affronter. Le problème, c'est comment. J'ai pas l'impression d'être assez impliquée pour lui devoir quoi que ce soit... J'envisage le téléphone. Le courriel, même. Pis en même temps, je trouve ça poche.

Pis quoi lui dire ? La vérité est sûrement trop crue pour être dite telle quelle... "Excuse-moi, j'ai pas vraiment envie d'être avec toi, j'ai pas beaucoup de temps et pas non plus envie de t'en consacrer. Je suis mal à l'aise avec toi. Tu ne m'intéresse tout simplement pas. Il faut arrêter maintenant." Il me semble que c'est un peu sec ?


En attendant de trouver ce que je vais lui dire, hier après-midi, Mademoiselle Mi et moi avons acheté des carambars. J'ai été élevé par un père qui avait une éducation bourgeoise et à la française et qui me ramenait des carambars de je-ne-sais-trop-où (car il n'y en a pas à tous les dépanneurs, au Québec). C'est comme un bâton de truc à machouiller, style caramel, qui peut avoir différentes saveurs. Comme les gommes Bazooka, l'emballage des Carambars renferme des "blagues tordantes" (dixit ledit emballage). Voici les miennes:

Un professeur demande à un élève: "Nommez-moi trois membres de la famille des poissons."
"Le papa poisson, la maman poisson, le fils poisson"
neutral

Et l'autre:
Q: Peut-on dire que les carottes rendent aimables ?
R: Tu t'es déjà fait insulter par un lapin ?
neutral

Et finalement:
Dans un restaurant:
"Garçon, est-ce que vous pouvez me servir du riz noir ?"
"Ça va pas ! Vous n'avez qu'à aller aux toilettes !"
eek

Euuuuuurk ! Mais vous pouvez être certains que j'ai ri ! Franchement... c'est quoi ça ?